Le désert…
« …est une école de patience, d’humilité. Il nous enseigne le sens de l’effort ainsi qu’une certaine sensibilité à nos écorchures âmes et d’épidermes. Il nous montre que bien peu de choses suffit en réalité à notre bonheur…voir la terre sans béton, sans poteaux télégraphiques, sans routes, c’est-à-dire telle qu’elle était avant l’homme et telle qu’elle sera peut être après l’homme, est une chose peu commune et puis le désert est beau parce qu’il ne ment pas.
Sa pureté est extraordinaire. » THEODORE MONOD